D’une part les signes tel points de la langue, elle-meme definie tel systeme de signes.
D’autre part, les indices entendus de maniere bon nombre plus globale, voire metaphorique, au sens d’entites porteuses de la signification. D’un cote, donc, on reste convie a etudier nos indices comme entites linguistiques, logiques et mathematiques : connecteurs, quantificateurs, signes algebriques, mais d’abord lettres de l’alphabet ou signes phonetiques. D’un nouvelle cote, il va falloir s’interroger via l’eventualite tout d’un sens a conferer a des expressions du genre : “indices du destin”, signes de mauvais augure”, “signes de reprise ou de recession”, “indices des temps”, “indices de l’entree dans — ou d’une sortie du — nihilisme”, etc.
Apparemment bien separe ces deux significations possibles.
Mais en realite les choses paraissent plus compliquees. Deja le signe (au sens 1) est constitue et institue dans un contexte global qui lui est immanent. Et symetriquement le signe (au sens 2) est issu d’un contexte culturel : epoque historique et localisation geographique, systeme de pensees et structure de mentalites. Continue reading